Au niveau régional, les différences de variation des populations, de structure par âge des médecins en exercice, du nombre de postes d'internes attribués chaque année à chaque région et des taux de réussite au concours de l'internat ont des résultats variés sur les densités médicales. La mobilité des étudiants à l'issue de leur formation joue également sur le nombre de médecins installés. Si l'ensemble de ces paramètres restait constant, le Languedoc-Roussillon et la région PACA se placeraient en 2020 parmi les régions les moins médicalisées, tandis que la Franche-Comté et le Nord Pas-de-Calais auraient des densités parmi les plus fortes.