Les jeunes praticiens, et plus particulièrement les hommes, sont plus enclins que leurs aînés à suivre les patientes enceintes. Cette tendance pourrait être liée à la plus grande place accordée à la gynécologie-obstétrique dans le cursus universitaire des médecins généralistes.
Les généralistes effectuant des suivis de grossesses déclarent des pratiques très diverses, tant en termes de mise en application de recommandations (notamment vis-à-vis de l’entretien prénatal précoce), que d’utilisation d’outils d’aide au suivi et d’échanges avec les professionnels spécialisés.