Avec un numerus clausus stable, la croissance des effectifs s’expliquerait en grande partie par l’arrivée de professionnels diplômés à l’étranger, sous réserve que le niveau actuel de ces flux se maintienne. Entre 2016 et 2025, les professionnels seront plus nombreux à cesser leur activité, en raison de l’arrivée à l’âge de la retraite des générations issues de numerus clausus élevés. L’arrivée de nouveaux praticiens permettra de compenser ces départs.
La profession devrait rajeunir et le mouvement de féminisation commencé ces dernières années se poursuivre. Enfin, l’exercice libéral resterait majoritaire malgré une progression possible du salariat d’ici à 2040.